NICE - PORT - APPARTEMENT DE 3 PIECES DE 75 M² HABITABLES - IDÉALEMENT SITUÉ À DEUX PAS DE LA PLACE DU PIN - VÉRANDA - CAVE
399 000 €
Description
NICE - PORT : Rue Bonaparte, 3 pièces de 75m² habitables (52m² loi Carrez). Il se compose d'une entrée, un grand séjour dans une véranda (possibilité réaménagement en terrasse), deux chambres, un espace cuisine avec cheminée, une salle de douche et un WC indépendant. Une cave en sous-sol complète ce bien. Située à deux pas de la place du pin, copropriété très bien entretenue.
Plus d'informations
Surface : 75 m²
Chambres : 2
Charges : 50 €
Taxe foncière : 506 €
Reference : A-23068
Informations complémentaires :
BIENTOT DISPONIBLE
BIENTOT DISPONIBLE
Taux d'impositions à NICE
- Taxe d'habitation : 21 %
- Taxe Foncière : 23 %
D’abord peuplé par les Ligures, puis par les Massaliotes en provenance de Marseille qui fondèrent un comptoir de négoce sous l’appellation Nikaïa, ...
...le site de Nice fut conquis par les Romains deux siècles avant notre ère. Qui en firent une véritable ville de près de vingt mille habitants, christianisée dès le IVe siècle, subissant les invasions barbares à la chute de l’Empire romain. Nice réapparut dans l’Histoire au tournant du millénaire, siège de l’évêché, prospère, étendue au-delà de ses murailles, profitant des nombreux monastères qui s’établirent alentour. Pourtant, à l’image d’une bonne partie de la Provence, guerres, luttes de pouvoir, épidémies, famines, mirent à mal ce territoire naturellement pauvre.
Un lieu de villégiature.
Possession du duché de Savoie, Nice fut transformée en citadelle, des remparts qui freinèrent son expansion mais n’empêchèrent pas sa destruction par les Français. Par lesquels elle sera annexée après la Révolution avant de revenir à la maison de Savoie en 1814, profitant de la paix recouvrée pour se rénover, créer un port et de nombreuses constructions nouvelles avant de devenir, dans les premières décennies du XVIIIe siècle un lieu de villégiature hivernal pour les Anglais d’abord, puis par les Grands d’Europe, avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860.
Commerçante et touristique.
Commerçante dès la Renaissance avec l’Italie, et la Méditerranée en général, Nice et sa région n’en demeurèrent pas moins pauvres en raison d’une agriculture ingrate. Ne profitant pas de la révolution industrielle, la cité niçoise put enfin prospérer grâce au tourisme aristocratique d’abord, voyant la construction de palaces, de riches demeures, d’édifices publics, la Promenade des Anglais, puis après la Seconde Guerre mondiale, aux vacances de masse. Induisant dès lors un bassin d’emplois tertiaires alimenté par le tourisme d’affaires avec centre des congrès et palais des expositions.
Sophia-Antipolis.
Entre mer et montagne, à trente kilomètres de l’Italie, dotée d’une remarquable capacité hôtelière pour accueillir les millions de touristes venus du monde entier, d’un aéroport international, d’un port de plaisance et de croisière, ville universitaire et de recherches avec Sophia-Antipolis et plusieurs établissements d’enseignement supérieur, Nice dispose de multiples équipements culturels avec notamment un théâtre national, un opéra, un conservatoire. Dont profitent les Niçois en attendant l’établissement d’une ligne ferroviaire à grande vitesse prévue dans la décennie à venir.
Des secteurs estivaux ou résidentiels.
Développée autour du Vieux-Nice, la ville se partage entre urbanisme italien et français. Venelles étroites et rues larges typiquement haussmanniennes cohabitent dans un parc immobilier où le locatif se fait rare, avec 13% de résidences secondaires et 7% de maisons individuelles. Prisée par les étrangers, avec de nombreux secteurs réservés aux résidences estivales et aux touristes dans la vieille ville, Nice reste néanmoins accessible aux familles et aux retraités grâce à des résidences de construction récente, et à des quartiers populaires aux prix plus modiques.
...le site de Nice fut conquis par les Romains deux siècles avant notre ère. Qui en firent une véritable ville de près de vingt mille habitants, christianisée dès le IVe siècle, subissant les invasions barbares à la chute de l’Empire romain. Nice réapparut dans l’Histoire au tournant du millénaire, siège de l’évêché, prospère, étendue au-delà de ses murailles, profitant des nombreux monastères qui s’établirent alentour. Pourtant, à l’image d’une bonne partie de la Provence, guerres, luttes de pouvoir, épidémies, famines, mirent à mal ce territoire naturellement pauvre.
Un lieu de villégiature.
Possession du duché de Savoie, Nice fut transformée en citadelle, des remparts qui freinèrent son expansion mais n’empêchèrent pas sa destruction par les Français. Par lesquels elle sera annexée après la Révolution avant de revenir à la maison de Savoie en 1814, profitant de la paix recouvrée pour se rénover, créer un port et de nombreuses constructions nouvelles avant de devenir, dans les premières décennies du XVIIIe siècle un lieu de villégiature hivernal pour les Anglais d’abord, puis par les Grands d’Europe, avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860.
Commerçante et touristique.
Commerçante dès la Renaissance avec l’Italie, et la Méditerranée en général, Nice et sa région n’en demeurèrent pas moins pauvres en raison d’une agriculture ingrate. Ne profitant pas de la révolution industrielle, la cité niçoise put enfin prospérer grâce au tourisme aristocratique d’abord, voyant la construction de palaces, de riches demeures, d’édifices publics, la Promenade des Anglais, puis après la Seconde Guerre mondiale, aux vacances de masse. Induisant dès lors un bassin d’emplois tertiaires alimenté par le tourisme d’affaires avec centre des congrès et palais des expositions.
Sophia-Antipolis.
Entre mer et montagne, à trente kilomètres de l’Italie, dotée d’une remarquable capacité hôtelière pour accueillir les millions de touristes venus du monde entier, d’un aéroport international, d’un port de plaisance et de croisière, ville universitaire et de recherches avec Sophia-Antipolis et plusieurs établissements d’enseignement supérieur, Nice dispose de multiples équipements culturels avec notamment un théâtre national, un opéra, un conservatoire. Dont profitent les Niçois en attendant l’établissement d’une ligne ferroviaire à grande vitesse prévue dans la décennie à venir.
Des secteurs estivaux ou résidentiels.
Développée autour du Vieux-Nice, la ville se partage entre urbanisme italien et français. Venelles étroites et rues larges typiquement haussmanniennes cohabitent dans un parc immobilier où le locatif se fait rare, avec 13% de résidences secondaires et 7% de maisons individuelles. Prisée par les étrangers, avec de nombreux secteurs réservés aux résidences estivales et aux touristes dans la vieille ville, Nice reste néanmoins accessible aux familles et aux retraités grâce à des résidences de construction récente, et à des quartiers populaires aux prix plus modiques.
- Département : Alpes-Maritimes (06)
- Région : PROVENCE-ALPES-COTE-D-AZUR
- Population : 343 300 habitants
- Propriétaires : 48.0 %
- (source : Insee)
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr
Commission
A la charge du vendeur
Nombre de lots
17
Charges annuelles
600 €