VIEUX NICE - APPARTEMENT 4 PIECES DE 74M² A VENDRE - ENTIEREMENT RENOVE - PROCHE COMMODITES ET MER - CLIM - IDEAL INVESTISSEMENT
549 000 €
Description
VIEUX-NICE : 4 pièces de 73 m² rénové, au calme, à proximité de la place Rossetti, du Cours Saleya et de la mer. Situé en plein cœur de la vieille ville au 3e étage d'un immeuble niçois sans ascenseur, cet appartement rénové se compose d'une entrée, d'un séjour-cuisine avec vue sur les rues de la vieille ville, d'une première chambre, d'une deuxième chambre, d'une troisième chambre avec sa salle de douche, d'une salle de douche avec WC et d'un WC séparé. Cet appartement sans travaux et climatisé est idéal pour un pied à terre ou un investissement locatif.
Plus d'informations
Informations complémentaires :
BIENTOT DISPONIBLE
BIENTOT DISPONIBLE
Taux d'impositions à NICE
- Taxe d'habitation : 21 %
- Taxe Foncière : 23 %
D’abord peuplé par les Ligures, puis par les Massaliotes en provenance de Marseille qui fondèrent un comptoir de négoce sous l’appellation Nikaïa, ...
...le site de Nice fut conquis par les Romains deux siècles avant notre ère. Qui en firent une véritable ville de près de vingt mille habitants, christianisée dès le IVe siècle, subissant les invasions barbares à la chute de l’Empire romain. Nice réapparut dans l’Histoire au tournant du millénaire, siège de l’évêché, prospère, étendue au-delà de ses murailles, profitant des nombreux monastères qui s’établirent alentour. Pourtant, à l’image d’une bonne partie de la Provence, guerres, luttes de pouvoir, épidémies, famines, mirent à mal ce territoire naturellement pauvre.
Un lieu de villégiature.
Possession du duché de Savoie, Nice fut transformée en citadelle, des remparts qui freinèrent son expansion mais n’empêchèrent pas sa destruction par les Français. Par lesquels elle sera annexée après la Révolution avant de revenir à la maison de Savoie en 1814, profitant de la paix recouvrée pour se rénover, créer un port et de nombreuses constructions nouvelles avant de devenir, dans les premières décennies du XVIIIe siècle un lieu de villégiature hivernal pour les Anglais d’abord, puis par les Grands d’Europe, avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860.
Commerçante et touristique.
Commerçante dès la Renaissance avec l’Italie, et la Méditerranée en général, Nice et sa région n’en demeurèrent pas moins pauvres en raison d’une agriculture ingrate. Ne profitant pas de la révolution industrielle, la cité niçoise put enfin prospérer grâce au tourisme aristocratique d’abord, voyant la construction de palaces, de riches demeures, d’édifices publics, la Promenade des Anglais, puis après la Seconde Guerre mondiale, aux vacances de masse. Induisant dès lors un bassin d’emplois tertiaires alimenté par le tourisme d’affaires avec centre des congrès et palais des expositions.
Sophia-Antipolis.
Entre mer et montagne, à trente kilomètres de l’Italie, dotée d’une remarquable capacité hôtelière pour accueillir les millions de touristes venus du monde entier, d’un aéroport international, d’un port de plaisance et de croisière, ville universitaire et de recherches avec Sophia-Antipolis et plusieurs établissements d’enseignement supérieur, Nice dispose de multiples équipements culturels avec notamment un théâtre national, un opéra, un conservatoire. Dont profitent les Niçois en attendant l’établissement d’une ligne ferroviaire à grande vitesse prévue dans la décennie à venir.
Des secteurs estivaux ou résidentiels.
Développée autour du Vieux-Nice, la ville se partage entre urbanisme italien et français. Venelles étroites et rues larges typiquement haussmanniennes cohabitent dans un parc immobilier où le locatif se fait rare, avec 13% de résidences secondaires et 7% de maisons individuelles. Prisée par les étrangers, avec de nombreux secteurs réservés aux résidences estivales et aux touristes dans la vieille ville, Nice reste néanmoins accessible aux familles et aux retraités grâce à des résidences de construction récente, et à des quartiers populaires aux prix plus modiques.
...le site de Nice fut conquis par les Romains deux siècles avant notre ère. Qui en firent une véritable ville de près de vingt mille habitants, christianisée dès le IVe siècle, subissant les invasions barbares à la chute de l’Empire romain. Nice réapparut dans l’Histoire au tournant du millénaire, siège de l’évêché, prospère, étendue au-delà de ses murailles, profitant des nombreux monastères qui s’établirent alentour. Pourtant, à l’image d’une bonne partie de la Provence, guerres, luttes de pouvoir, épidémies, famines, mirent à mal ce territoire naturellement pauvre.
Un lieu de villégiature.
Possession du duché de Savoie, Nice fut transformée en citadelle, des remparts qui freinèrent son expansion mais n’empêchèrent pas sa destruction par les Français. Par lesquels elle sera annexée après la Révolution avant de revenir à la maison de Savoie en 1814, profitant de la paix recouvrée pour se rénover, créer un port et de nombreuses constructions nouvelles avant de devenir, dans les premières décennies du XVIIIe siècle un lieu de villégiature hivernal pour les Anglais d’abord, puis par les Grands d’Europe, avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860.
Commerçante et touristique.
Commerçante dès la Renaissance avec l’Italie, et la Méditerranée en général, Nice et sa région n’en demeurèrent pas moins pauvres en raison d’une agriculture ingrate. Ne profitant pas de la révolution industrielle, la cité niçoise put enfin prospérer grâce au tourisme aristocratique d’abord, voyant la construction de palaces, de riches demeures, d’édifices publics, la Promenade des Anglais, puis après la Seconde Guerre mondiale, aux vacances de masse. Induisant dès lors un bassin d’emplois tertiaires alimenté par le tourisme d’affaires avec centre des congrès et palais des expositions.
Sophia-Antipolis.
Entre mer et montagne, à trente kilomètres de l’Italie, dotée d’une remarquable capacité hôtelière pour accueillir les millions de touristes venus du monde entier, d’un aéroport international, d’un port de plaisance et de croisière, ville universitaire et de recherches avec Sophia-Antipolis et plusieurs établissements d’enseignement supérieur, Nice dispose de multiples équipements culturels avec notamment un théâtre national, un opéra, un conservatoire. Dont profitent les Niçois en attendant l’établissement d’une ligne ferroviaire à grande vitesse prévue dans la décennie à venir.
Des secteurs estivaux ou résidentiels.
Développée autour du Vieux-Nice, la ville se partage entre urbanisme italien et français. Venelles étroites et rues larges typiquement haussmanniennes cohabitent dans un parc immobilier où le locatif se fait rare, avec 13% de résidences secondaires et 7% de maisons individuelles. Prisée par les étrangers, avec de nombreux secteurs réservés aux résidences estivales et aux touristes dans la vieille ville, Nice reste néanmoins accessible aux familles et aux retraités grâce à des résidences de construction récente, et à des quartiers populaires aux prix plus modiques.
- Département : Alpes-Maritimes (06)
- Région : PROVENCE-ALPES-COTE-D-AZUR
- Population : 343 300 habitants
- Propriétaires : 48.0 %
- (source : Insee)
- Logement économe
- <70A
- 71 - 110B
- 111 - 180C
- 181 - 250D
- 251 - 330E
- 331 - 420F
- > 420G
- Logement énergivore
223KWhEP/m2.an
Montant estimé des dépenses annuelles d'énergie pour un usage standard : entre 1280 € et 1790 € pour 2021
- Faible émission de GES
- <6A
- 7 - 11B
- 12 - 30C
- 31 - 50D
- 51 - 70E
- 71 - 100F
- > 101G
- Forte émission de GES
7kgéqCO2/m².an
DPE :
D
GES :
B
Valeur consommation (kWhEP/m2/an) :
223
223
Valeur GES (kgéqCO2/m2.an) :
7
7
Estimation des coûts annuels d'énergie du logement :
Valeur minimale
1280
Valeur minimale
1280
Estimation des coûts annuels d'énergie du logement :
Valeur maximale
1790
Valeur maximale
1790
Prix moyen des énergies indexées à l'année:
Année
2021
Année
2021
Date de réalisation du DPE
19/05/2025
19/05/2025
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr
Commission
A la charge du vendeur
Nombre de lots
17
Charges annuelles
1376 €

